Il existe une chaîne de travail à suivre quand on veut avoir une bonne viande sur la table. Cela commence par le travail des éleveurs, puis par la société d’abattage la société qui se charge du packaging, le transport, le magasin de stockage et la qualité des vitrines où sont exposés les produits.
Les règles des éleveurs
Les animaux doivent être élevés dans de bonnes conditions. L’élevage en plein air est très sollicité pour avoir une meilleure qualité des produits. En plus, il faut que les éleveurs fassent des efforts et arrêtent de poursuivre la méthode ancienne de mettre en cage les animaux pour avoir des bénéfices lors de la vente. En effet, le résultat concernant le poids de l’animal est différent à l’élevage dans la cage qu’en plein air. Mais la qualité de la viande est néfaste pour assurer la santé des consommateurs.
L’élevage en plein air applique le système bio. Les éleveurs doivent obtenir un certificat bio avant de présenter leur produit dans les magasins. Et selon le décret n° 2016-1137 du 19 août 2016, les détails de l’originalité de la viande et les produits laitiers doivent être marqués sur son emballage.
La loi sur l’abattage halal
Que vous soyez un boucher ou charcutier, les animaux doivent être traités dans des conditions qui régissent la loi sur l’abattage. C’est pour avoir une belle viande à la charcuterie halal artisanal que l’on tient compte du genre d’endroit où l’on doit abattre l’animal. Et suivant décret du 1964 sur la procédure halal, un abattage s’effectue jusqu’à épuiser le sang de la bête et effectué avec le matériel qui a été banni par l’homme religieux. L’abattage sera suivi d’un certificat halal, puis le spécialiste va aussi vérifier la condition de conservation de la viande jusqu’à sa mise en vitrine.
Seules les boucheries et charcuteries ont réussi à suivre le rituel de l’abattage qui peut vendre les viandes halal. Bien que l’on ne puisse pas aussi décliner le décret de l’autorisation de l’étourdissement pour les volailles sorties en 1970.
