Si l’Homme est parvenu à avoir des droits actuellement, c’est bien parce que des traités et des conventions y ont été appliqués. Et les animaux alors ? Ont en-t-ils ? Ils ne sont ni des personnes, ni des objets. Devraient-ils en avoir ? Il est difficile d’analyser entièrement le sujet et de répondre aux questions douteuses. Seule, l’opinion des français et celui du gouvernement sur ce thème vous seront servis.
Quelques anecdotes sur le sujet
A la Préhistoire, l’homme était proche des animaux et de l’environnement. Il le représentait même sur les murs de leur grotte. Dans certaines civilisations anciennes, les égyptiens, par exemple, idolâtrent et prennent les chats pour représentation du Seigneur sur terre. Mais lorsque la philosophie occidentale s’exprime sur le sujet, elle place l’animal au titre d’objet, car il ne possède pas d’esprit. La religion chrétienne porte un autre avis sur le sujet. L’homme est pris pour centre de l’univers et peut tout à fait dompter la nature. Mais cela n’exclut pas le fait qu’il y ait toujours des amoureux des animaux qui veillent sur eux, au point de les souscrire à une assurance chien par exemple.
La progression de la loi sur les animaux en France
Auparavant, les animaux pouvaient être maltraités en France. Parvenus en 1850, la Loi Grammont a commencé à l’interdire publiquement. Arrivé en 1963, cela devient un crime. La Loi 76-629 du 10 juillet 1976 a renforcé leur protection en admettant qu’ils méritent d’être bien traités. Finalement, le Code pénal du 1er mars 1994 condamne toute maltraitance et abandon d’animaux, même de la part du propriétaire. Quant aux corridas, plusieurs débats ont été établis à leur sujet au cours de plusieurs années. Ce qui mène à dire, que l’animal n’est, ni pris pour humain, ni pour bien non plus chez les français